Passage à Copenhague
J’arrivais à Copenhague sous un ciel magnifique avec l’intention de me promener quelques heures dans la ville avant de reprendre la route, tout en sachant que, vu la taille de la ville, les choses à voir et les endroits à découvrir, le temps serait insuffisant.
Je décidais de trouver le grand canal et de suivre les beffrois, clochers, tours aussi pointus que divers et variés (et pour certaines d’entre-elles très particulières)…
« Drame à Copenhague, un touriste empalé par une tour… »
Je pense qu’une des choses qui change une fois de plus avec nos villes, c’est la hauteur beaucoup plus grande des bâtiments en centre ville, j’avais déjà été marqué à Londres par cette impression, je retrouvais à nouveau cette sensation à Copenhague.
Un autre aspect de la ville était flagrant, c’était la présence importante et en première place des vélos. Circulaient des pelotons denses de cyclistes et à chaque endroit on pouvait observer des forêts de vélos attachés un peu partout.
Il y avait aussi énormément de trottinettes électriques en mode vélib. Je me demande combien de temps un tel service tiendrait en France avant le vol entier du parc…
Par moment, certains endroits m’évoquaient d’autres villes, que ce soit au niveau des couleurs ou des formes, sans pour autant que la ville perde sa propre identité.
J’observais aussi la grande fréquentation des canaux par toutes sortes d’embarcations, aussi bien touristiques qu’individuelles. Pas mal de personnes se baignaient également à proximité des berges.
Je cherchais ensuite une fois arrivé en Suède un magasin pour acheter un rouleau de duct tape, l’aimant collé à ma coque de téléphone ne tenant plus que de façon très précaire. Je me retrouvais face à une situation intéressante : faire des courses dans un magasin où les mots n’ont que de rares et vagues rapports avec l’anglais (même si on pouvait parfois deviner). Après quelques minutes, je trouvais enfin et fixait définitivement le magnet. Il n’est plus tombé depuis…
Après avoir sélectionné et traité les photos du jour, je reprenais la route : je souhaitais traverser la suède pour arriver le jour qui suivait en Norvège, ayant choisi de commencer à visiter plus en détail ce pays lors de mon retour, en particulier la partie autogérée de la ville…
